Petite anecdote lâchée par la structure russe Virtus.pro concernant les coulisses de la scène CS:GO. Lors du premier versement des recettes de la vente de stickers à l'organisation par Valve, cette dernière a été classée dans la catégorie terroriste par sa banque.

Virtus.pro dans la panade

C'est avec une pointe d'humour que Virtus.pro annonçait cette information via son compte Twitter hier soir. Lorsque l'entreprise a reçu le premier versement de son histoire par Valve suite à la vente de stickers à son effigie, l'intitulé de la transaction a conduit la banque lituanienne avec laquelle l'oganisation travaillait à l'époque à bloquer la transaction.

En effet Valve avait appelé le virement « Weapon sticker sales » (vente d'autocollants d'armes) ce qui a poussé la banque en question à s'interroger et à soupçonner Virtus.pro d'avoir réalisé une vente illégale d'armes auprès d'une société américaine. Après plusieurs heures de discussions avec le chargé de la sécurité tout a finalement pu rentrer dans l'ordre. Cette aventure aura permis au personnel de la banque d'apprendre les activités liées à l'esport et surtout les masses d'argent qui pouvaient transiter dans un secteur vraisemblablement méconnu par ces derniers. L'histoire remonte à l'été 2016 lors du sixième tournoi Major de l'éditeur, la MLG Major Championship: Columbus 2016.