Samedi matin, le soleil se lève (enfin, il est déjà levé depuis bien belle lurette puisqu’il est 11h passées) et les joueurs aussi. Mais avec quelques difficultés. Certains se prennent des coups pieds, dormant sous les PC de leurs coéquipiers ça ne peut que les gêner, logique donc. D’autres, malgré tous les bruits aux alentours et les moult secousses reçues n’arrivent pas à ouvrir les yeux comme DkS par exemple qui, lui, n’avait carrément pas de matelas, juste un sac de couchage.
Le restant des joueurs EFC arrive enfin de Paris, en même temps que les WeiRd qui étaient de retour de l’hôtel. Un problème fait son apparition pour les parisiens car les administrateurs de l’UTT ne veulent pas qu’un joueur participe au tournoi s’il n’a pas emmené son propre PC. Ils en ont seulement 3 pour le double voir le triple de personnes. Ce n’est qu’une fois qu’ils ont commencé à ranger leurs affaires pour rentrer chez eux que les organisateurs changent d’avis et acceptent finalement de les faire jouer sans le nombre minimum requis de PC.

La première confrontation entre WeiRd et EFC a lieu, ce sont ces derniers qui s’imposent 3 à 1, le 2vs2 n’a pas besoin d’être joué. Ca chambre de partout, provocations et compagnies sont légions. LySander (manager EFC) et WoLFoU (rédacteur esportsfrance) s’en vont ensembles, en tête à tête, dîner à McDo. Le reste des participants mangent sur place la nourriture proposée, pizza etc.
Les matchs de poules du tournoi UTT s’enchaînent tranquillement, on assiste à quelques surprises mais rien de grandiose.
NezuO et DkS sont allés discuter avec Sanji afin d’avoir des explications sur ses dires quant au niveau de DkS, mais eLquA aura mis fin à la conversation assez rapidement, à sa façon. A part ça, les substances illicites se baladent dans la LAN entre chaque matchs et clanwars (et même pendant) durant toute la journée.

Le marchant de sable est passé et la fatigue commence à se faire ressentir, il est temps d’aller dormir.