La nuit fut des plus atroces à cause de mon estomac exprimant son désir d\'être rempli. Aujourd\'hui encore, je vais devoir chasser le cochon sauvage pour me sustenter, mais avant de débuter la chasse, je dépose mes minerais de fer dans le coffre.

Je décide d\'aller dans la direction opposée à celle d\'hier, et très vite j\'aperçois un groupe de cochons, que je m\'empresse d\'annihiler. A peine ai-je tué le premier cochon que je vois une partie comestible, et n\'attends même pas de la cuire pour la dévorer tant la faim me tiraille.

Je continue ma chasse, et trouve du charbon ainsi que du fer qui n\'attendaient que moi. Non loin, d\'autres cochons se promènent aux côtés de vaches. Je vais d\'abord récolter les minerais, puis tuer les amis de Marien.

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Marchant à travers les collines, exterminant tout animal, je découvre de l\'argile, qui me servira peut-être. Je préfère tout récolter plutôt qu\'avoir à retrouver la dite ressource.

Rapidement, j\'arrive dans ce qui ressemble à un petit désert. Craignant maintenant de tomber à cours de provisions à tout moment, j\'ai préféré avancer, et suis tombé sur des citrouilles que j\'ai directement ramassé.

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Je ne sais pas combien de temps j\'ai mis pour arriver ici, mais je préfère rentrer, car le soleil est loin d\'être à son summum. Je trouve de l\'argile sur le chemin du retour, qui achève ma pelle.

Je rencontre sur la route un gang de cochons, mais je n\'ai plus de place dans mes sacs, cependant mes réserves sont suffisantes pour plusieurs jours.

J\'arrive chez moi peu après le début du crépuscule, et met directement mon cochon à cuire. J\'avale goulûment deux cotelettes, puis vais me coucher.