NRG Esports destitue un manager de l'équipe Overwatch pour agression sexuelle et harcèlement.
Nous apprenons ce matin que la direction de la structure nord-américaine NRG Esports a limogé Maxwell Bateman, un des managers de l’équipe Overwatch des San Francisco Shock, suite à des accusations de harcèlement et d'agression sexuelle.
Les faits sont survenus le 30 septembre dernier, lors d’une fête organisée avec les joueurs de la formation NRG Overwatch. La streameuse Dezaray Luna était présente à ces réjouissances et a affirmé que l’incident s’est produit quand elle et Maxwell Bateman, qu'elle considérait comme un ami proche, se sont retirés chez lui en fin de soirée. Dezaray Luna s'est endormie sur le canapé et s'est réveillée en crachant du sang.
Aujourd'hui, elle a déclaré que le manager s'était couché à côté d'elle et l'avait agressée sexuellement.
Quelques jours plus tard, elle a reçu de Maxwell Bateman des SMS très explicites, où il s'excuse de ce qui c'est passé, affirmant qu'il pensait qu'elle était sobre lors des faits. Elle a donc jugé bon d’aller voir la police, mais elle a été informée que cela ne pouvait pas être considéré comme une preuve ; c’est pour cela qu’elle a pris la décision de poster tous les messages sur Twitter.
Même si le département de police de Las Vegas n’a pas donné suite à l’affaire faute de preuves, le propriétaire de la structure NRG Esports a immédiatement pris la décision de renvoyer le manager de l’équipe Overwatch "conformément à la politique de tolérance zéro de la structure".
Modifié le 17/04/2019 à 15:22
Modifié le 17/04/2019 à 15:22
Modifié le 17/04/2019 à 15:22
Avec les filles qui dorment chez les mecs c'est pareil, des fois même si les deux sont bourrés et qu'ils sont serrés l'un contre l'autre pour dormir il se passera rien (histoire vraie) malgré tout à un moment faut arrêter l'hypocrisie et dire qu'il se passe jamais rien, bien sûr y'a des mecs qui respectent les meufs malgré tout c'est pas la totalité et faut savoir faire la part des choses, des fois des filles accordent leur confiance à des mecs alors qu'elles auraient pas du (l'inverse est vrai aussi) et il se passe des trucs malheureux à base de harcèlements de viols etc, mais qu'est ce que vous voulez que j'vous dise, on fait tous des erreurs.
On fait tous des erreurs mais on peut quand même les limiter et pour répondre à cr1nel non je ne suis pas pour que les filles ne boivent pas ou ne mettent pas de jupes mais il faut être utopiste ou naïf pour croire qu'on a tous une liberté sans limites (par exemple moi j'aimerai bien me promener à 3h du mat à Sarcelles mais je le fais pas pour les raisons citées plus haut, donc c'est un frein à ma liberté). Bien entendu c'est triste mais les filles ont moins de liberté que les mecs et il faut évidemment se battre pour agrandir cette liberté. Mais ce n'est pas pas une raison pour ignorer les limites de cette liberté et se sentir pousser des ailes, il y a un arbitrage à faire entre ce qui est raisonnable et ce qui ne l'est pas. La problématique de cr1nel est joliment formulée donc je vais la reprendre en partie, je tiens à préciser que j'extrémise volontairement la question pour mieux faire ressortir le problème (en rapport avec la liberté) et mieux comprendre que y'a certains choix cornéliens à faire:
Vous préféreriez interdire à votre frangine de boire et de porter des jupes ou qu'elle se fasse violer?
Modifié le 17/04/2019 à 15:22
Parce que ton raisonnement quand même, c'est un peu de la daube. Sinon demain j'agresse un lycéen dans un quartier friqué, il avait qu'à pas avoir une Rolex, il m'a tenté Mr l'Agent, en plus j'avais bu X verres d'alcool. Inutile de dire que si dans ce cas je reste indéfendable, cela l'est aussi pour toute agression/tentative d'agression sur une fille. Si nous les hommes, avons réussi à ne plus monter dans un arbre pour lancer notre caca quand nous sommes contrariés (ce que font les singes), nous pouvons aussi contrôler notre teub. En aucun cas le problème vient de la fille, sa tenue ou l'alcool mais bien des hommes qui agressent. (oui on est pas tous comme ça, bravo à vous si vous n'avez jamais agressé personne)
Je terminerai en citant Pulp Fiction et Vincent Vega qui nous apprend comment réagir devant une fille saoûle et qui nous excite: "Voila ! Tu dois y retourner, lui dire adieu, ce fut une délicieuse soirée. Tu fous le camp tu réintègres ta caisse... Tu rentres tu t'branles une ou deux fois et tout sera dit !"
Modifié le 17/04/2019 à 15:22
Bah oui si personne t'as vu, que personne ne trouve ta rolex volé, ou je ne sais pas quoi d'autre si personne a de preuves de ce que ce lycéen avance( en admettant qu'il est porté plainte toussa ), il est indéfendable pareil pour la fille.
Ou alors tu dis bien la vérité; que tu es le coupable blablabla ( tentation, alcool etc n'excusent pas le geste, pareil que pour son "ami" pour le cas si c'est bien vrai hein mais je crois pas qu'il est encore dit " oui je l'ai violé" ).
Je n'ai pas du tout dit qu'il fallait "excuser" son geste ( si il est vrai ) mais qu'il faut prendre conscience des risques / facteurs en général ( oui si tu te promènes avec une rolex en or massif ou une mallette transparente avec 15m tu prends le risque de te faire voler ).
Je ne cautionne en aucun cas, tout le contraire. Mais avant de dire qu'elle ou lui a tort ( ce qu'on saura peut être si y'as une enquête etc ) je préfère nuancer en oubliant pas qu'on ne sait tout simplement pas. Et que si tu condamnes sans preuves tu peux avoir raison comme tu peux ne pas avoir raison ( bonne justice :^) )
Modifié le 17/04/2019 à 15:22
Modifié le 17/04/2019 à 15:22
Cette histoire ma fait penser à celle de Neogaf, où une nana a accusé sur twitter le fondateur de Neogaf de l'avoir agressé sexuellement, sauf que plus tard on a appris qu'ils avaient couché ensemble des mois après, et que cette accusation ressemblait plus à une vengeance qu'autre chose.
Modifié le 17/04/2019 à 15:22
Et de toute façon je ne crois pas qu'elle l'ait nuancé.
Modifié le 17/04/2019 à 15:22
Modifié le 17/04/2019 à 15:22
Un rendez vous ne s'obtient pas instantanément, devrait elle rester plusieurs jours avec le sperme de son violeur dans la chatte en attendant le dit rendez vous?
Et je passe la citation de la fille qui dit: "Je savais que ce qu'il se passait n'était pas bien mais je ne pouvais rien faire, j'étais comme tétanisée." nous pouvons supposer un état de choc certain d'une certaine intensité après cela... Ce n'est pas spécialement une première et peut expliquer cette réaction peut être moins "pertinente" qu'un test ADN directement après l'acte.