Mise à jour 2 :
Simon "Lliane" Depiets à souhaité répondre au communiqué publié par ESportsFrance :

 

 

 

Si une erreur a été commise, c'est celle de ne pas avoir publié le communiqué dans son intégralité dès le début, j'en assume l'entière responsabilité. Le but de l'article n'était pas de susciter une polémique sulfureuse sur esportsfrance mais de parler de l'histoire de l'ESWC. Si la création d'esportsfrance est abordée dans l'article c'est uniquement parce qu'elle permet d'expliquer que l'APSE organise la Coupe de France 2009. La partie consacrée à la création d'ESportsFrance ne constitue qu'une partie infime du dossier (10 lignes sur 15 pages).

Le ton du communiqué était à mon opinion démesurément agressif par rapport a celui de l'article et j'ai décidé de ne publier que la partie la plus en rapport avec le dossier, afin d'éviter une inutile guerre de rédaction entre esportsfrance et aAa qui ne peut que nuire aux deux parties. Sans succès puisque l'intégralité du communiqué a été publiée sur esportsfrance, communiqué auquel je me permets donc de répondre.

Tout d'abord, il n'a jamais été affirmé ici que Monsieur Sylvain MAILLARD ou Games Services aient été attaqués en justice ou aient enfreint la loi, c'est l'opinion de Monsieur Emmanuel Andréani qui est rapportée, ce dernier n'a jamais porte plainte, et elle n'engage que lui et en aucun cas moi-même, et encore moins la rédaction de team-aAa.

A plusieurs passages dans l'article, faute d'avoir une vérité approuvée par une franche majorité, j'ai choisi de confronter les versions de plusieurs acteurs, et de laisser le lecteur choisir celle qu'il estime juste, en n'exerçant aucun traitement de faveur. C'est une chose très commune, dans les journaux comme dans toutes les enquêtes. Néanmoins le communiqué prend à chaque fois une des alternative pour une affirmation, voire une diffamation, ce qui n'est pas le cas. En aucun cas mon opinion ou mon avis personnel n'est donné dans l'article.

Ensuite, l'ensemble des informations sont sourcées de manière précise en fin d'article, les informations ont été recoupées, ce qui a pris un temps considérable contrairement à ce que prétend l'auteur du communiqué. Je ne souhaitais pas m'étendre sur les relations cordiales entre ESportsFrance et Games Services, pour ne pas citer d'éléments qui n'ont au final pas eu d'influence sur Games Services. D'autres éléments, difficilement sourçables bien que confirmés par la quasi totalité des acteurs du monde de l'esport, n'ont de la même façon et pour des raisons différentes pas été publiés (relations ICM/Ligarena, etc.), il ne s'agissait pas de faire un pamphlet mais un article de fond.

Enfin, tout comme il est normal qu'aAa consacre des articles a ses sponsors, je ne vois pas quel est le problème à ce qu'ESportsFrance s'entende bien avec Games Services, même si c'est quelque chose qui, dans un cas comme dans l'autre, nous est "souvent reproché" pour reprendre les termes de l'article, ce n'est en aucun cas péjoratif de parler de relations de sponsoring. EsportsFrance est une source fiable lorsque j'ai besoin d'un résultat à Warcraft III, TrackMania ou Quake et je ne dénigrerais gratuitement en aucun cas un de ses rédacteurs.

Mise à jour 1 :

 

 

 

La rédaction du site esportsfrance.com, par l'intermédiaire de Sylvain Maillard, a tenu à préciser que  :
"L’ensemble de la rédaction d’Esportsfrance.com, de l’A.P.S.E et monsieur Sylvain Maillard, sont choqués du traitement qui a été fait à leurs égards par le site Team-aAa.com dans son dernier « dossier » sur l’Electronic Sports World Cup. Certaines des affirmations faites sont tout bonnement fausses et les suppositions et sous-entendus calomnieux. Les écrits attestent d’un sérieux manque de vérification des informations par son auteur, ce qui nous conduit à devoir rétablir la vérité.

Premièrement, la société Electronic Sports Média n’a à ce jour jamais porté plainte ou porté une action en justice à l’encontre de monsieur Sylvain Maillard ou de la société Games-Services. Aucun vol de marque n’a été commis puisqu’il s’agit de deux marques différentes : « Electronic Sports » détenue par monsieur Emmanuel Andreani, et « Electronic Sports World Cup » détenue par la société Games-Services. En outre, aucun vol du nom de domaine Esports.fr n’a été commis puisque le propriétaire de ce dernier est encore à ce jour la société Electronic Sports Média. Ces deux premières informations sont facilement vérifiables sur les sites de l’INPI.fr et de GANDI.net, mais cela n’a apparemment pas été fait par l’auteur.

Deuxièmement, le site Team-aAa.com affirme que l’association a été créée sans fonds propres et nous restons encore dubitatifs face à une telle affirmation. L’association A.P.S.E a été créée et financée au lancement par les fonds personnels de messieurs Sylvain Maillard et Benoît C., puis dès l’été par des rentrées publicitaires régulières. La société Games-Services nous a fourni un hébergement. Et la seule contrepartie était la mise en place d’un espace publicitaire sur le site pour promouvoir ses activités ou celles des associations qu’elle soutenait. L’hébergement par Games-Services n’a jamais empêché notre rédaction de faire son travail en toute indépendance au contraire de ce qui est sous-entendu ici. Elle a toujours eu sa liberté d’expression et n’a subi aucune pression. Le site Esportsfrance.com a changé d’hébergeur en novembre 2006 pour OVH afin d’avoir un hébergement plus puissant et rapide, mais aussi à la demande de la société Games-Services elle-même. Là aussi l’auteur se garde bien d’ailleurs de préciser ce changement d’hébergement dans son dossier alors qu’il s'attache à préciser le fait que Games-Services nous a hébergés en 2005.

Cette succession d’erreurs et d’approximation montre un vrai manque de recherche de la part de son auteur qui s’enfonce dans des suppositions fausses en reprenant des propos sans en vérifier la véracité auprès des personnes concernées. Les nombreux sous-entendus de ce passage du dossier sont préjudiciables et apportent injustement le discrédit sur notre association et ses membres. Loin de nous l'idée de raviver une quelconque querelle entre rédactions, nous tenons tout simplement à rétablir la vérité, regrettant le manque de recherche d'informations dont a fait preuve l'auteur de ce dossier."

 
 
Ce dossier est le premier d'une longue série d'enquêtes sur les acteurs du sport électronique, qui sortiront de manière irrégulière selon leur importance et le temps nécessaire à leur rédaction. Il se consacre a l'organisme qui a fait et défait le sport électronique en France et a eu un rôle prépondérant dans l'ordre mondial : l'ESWC. De sa création à sa disparition nous essayerons de comprendre ce qui l'a ammené aussi haut et ce qui l'a précipité dans sa chute.
Un des objectifs est justement de rester objectif, les sources d'information divèrgent souvent dans le monde des entreprises et plus particulièrement dans le sport électronique : désinformation,  inexactitudes rumeurs et coups montés sont le quotidien du milieu. Tout en gardant une liberté de ton, j'essayerais de remonter les informations primordiales les plus facilement vérifiables, tout en citant les sources à la fin.
La plupart des informations de ce dossier sont issues de l'archivage du web réalisé depuis 15 ans par archive.org. Ici il s'agira principalement des anciennes versions d'ESportFrance, des sites de bds (GeekBoys, SoGamed), de CyberLeagues, des WCG, etc. En cas d'inexactitude ou pour toute autre demande vous êtes invités à le faire en commentaire ou par mail si la confidentalité s'impose.

Vous pouvez d'ores et déjà choisir le thème du prochain dossier de l'esport en participant au sondage situé en bas à gauche du site
Bonne lecture.
Lliane