Et voilà une nouvelle journée qui commence ! Je suis gonflé à bloc, la nuit fut des plus reposantes. Je dévore une côtelette, prépare quelques torches, puis me met en route pour la galerie.

Les \"Slurp\" de la veille ont laissé place au râlement roque des zombies. Je sais depuis la veille que j\'aurais à me battre, et j\'ai eu toute la nuit pour m\'y préparer psychologiquement. Je vais défaire la moindre vermine terrée derrière ces murs !

Les bruits sont de plus en plus proches, je suis prêt du but ! Par réflexe, je mine d\'abord la roche au niveau de mes jambes, pour qu\'aucun projectile ne m\'arrive à la tête.

Il ne faut pas longtemps pour que le bruit d\'un arc décochant une flèche ne se fasse entendre. Le projectile a raté mon foie de peu, et je remercie le sursaut qui m\'a traversé en réaction au bruit de l\'arc.

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Instinctivement, j\'ai reculé. J\'avance maintenant petit à petit, accroupi. La galerie est légèrement plus basse que moi. J\'en ai extrêmement mal estimé la position lorsque j\'ai creusé pour la rendre à ciel ouvert.

Tout à coup, je me rends compte que j\'ai perdu toute notion de temps. Je m\'empresse d\'aller à la surface pour vérifier la position du soleil. Heureusement, il doit être à peine midi, je retourne donc auprès de l\'archer, avec l\'espoir secret de pouvoir m\'emparer de son arme.

Si j\'y vais de front, vu la largeur du passage, je cours à la mort, je décide donc de miner une deuxième rangée juste à côté, afin de progresser petit à petit jusqu\'à ma cible.

Je jette un oeil sur le squelette, mais il n\'est plus là ! Je prie pour qu\'il ne soit pas partit avertir d\'autres créatures de ma présence. Si je devais mourir ici, ce serait un déshonneur sans commune mesure, mais je ne mourrais pas ! Je suis un guerrier, rien ne peut m\'arrêter !

Sur ma gauche, il y a du gravier, je pourrais peut-être rejoindre une partie de la grotte sans monstre, je m\'empresse donc de le creuser.

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Horreur !
 Cette caverne semble remplie d\'archers squelette ! Il va falloir que je trouve un moyen de contrer leurs maudits arcs, pour le moment je n\'ai aucune chance, je ne peux même pas m\'approcher.

J\'y réfléchirais une fois que je serais en sécurité, d\'autant que je crains d\'avoir laissé le temps passer sans m\'en soucier, je cours donc le plus vite possible vers la surface, vers la lumière, vers l\'air frais.

L\'après-midi doit en être à un peu plus de la moitié maintenant. Je me pose sur l\'herbe un moment, à profiter de l\'air frais. Cette sensation est des plus agréables, surtout sur mon visage. Travailler dans les profondeurs de la terre est éprouvant, et la châleur y est étouffante. J\'entends les brins d\'herbe virevolter au gré du vent, tel un reflux sans vague.

Je ne peux rester là éternellement, alors lentement, je me relève. Une vache gambade tranquillement autour de moi, tout en scrutant le monde alentour. Son poil semble rêche, je n\'ai aucune envie d\'y parcourir mes doigts...Par contre, ils pourraient faire une excellente armure improvisée !

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C\'est décidé, je retournerais dans cette galerie dès lors que mon armure sera complète ! La chasse aux vaches est ouvertes, et je n\'aurais aucune pitié ! Je traverse une multitudes de collines pour en trouver d\'autres, et je tombe sur un gang de trois moutons...et le fameux ruminant !

J\'hésite un moment à la vue des moutons...Marien, où es-tu? Non ! Je dois me reprendre, Marien n\'existe pas, ce n\'était qu\'un rêve ! Un rêve !

Il faut que je tue cette vache, pour ma survie. Je m\'approche d\'elle, la lame levée, mais détourne les yeux au moment de l\'abaisser. Malheureusement, j\'ai complètement abîmé ce qui aurait pu être arraché. Marien, je ne l\'oublierais pas celle-là ! Je me vengerais une nuit prochaine, comptes là dessus.

Heureusement, une autre vache se trouvait non loin de là. Malgré son état de santé, j\'arrive à en tirer quelque chose. Après quelques mètres à peine, j\'aperçois un troupeau de trois bovins, que j\'abats de sang froid cette fois ! Avec ce que j\'ai récolté, j\'ai de quoi me fabriquer un casque, en cuir certes, mais je préfère ça à rien du tout, je rentre donc au bercail.

A peine ai-je posé le pieds sur mon île que le soleil commence sa lente retraite vers l\'horizon. Je descend dans ma chambre, et m\'allonge dans mon lit. J\'espère pour toi que tu sais courir Marien, car j\'arrive !
Et voilà une nouvelle journée qui commence ! Je suis gonflé à bloc, la nuit fut des plus reposantes. Je dévore une côtelette, prépare quelques torches, puis me met en route pour

la galerie.

Les \"Slurp\" de la veille ont laissé place au râlement roque des zombies. Je sais depuis la veille que j\'aurais à me battre, et j\'ai eu toute la nuit pour m\'y préparer

psychologiquement. Je vais défaire la moindre vermine terrée derrière ces murs !

Les bruits sont de plus en plus proches, je suis prêt du but ! Par réflexe, je mine d\'abord la roche au niveau de mes jambes, pour qu\'aucun projectile ne m\'arrive à la tête.

Il ne faut pas longtemps pour que le bruit d\'un arc décochant une flèche ne se fasse entendre. Le projectile a raté mon foie de peu, et je remercie le sursaut qui m\'a traversé

en réaction au bruit de l\'arc.

[IMG GALERIE SQUELETTE]

Instinctivement, j\'ai reculé. J\'avance maintenant petit à petit, accroupi. La galerie est légèrement plus basse que moi. J\'en ai extrêmement mal estimé la position lorsque j\'ai

creusé pour la rendre à ciel ouvert.

Tout à coup, je me rends compte que j\'ai perdu toute notion de temps. Je m\'empresse d\'aller à la surface pour vérifier la position du soleil. Heureusement, il doit être à peine

midi, je retourne donc auprès de l\'archer, avec l\'espoir secret de pouvoir m\'emparer de son arme.

Si j\'y vais de front, vu la largeur du passage, je cours à la mort, je décide donc de miner une deuxième rangée juste à côté, afin de progresser petit à petit jusqu\'à ma cible.

Je jette un oeil sur le squelette, mais il n\'est plus là ! Je prie pour qu\'il ne soit pas partit avertir d\'autres créatures de ma présence. Si je devais mourir ici, ce serait un

déshonneur sans commune mesure, mais je ne mourrais pas ! Je suis un guerrier, rien ne peut m\'arrêter !

Sur ma gauche, il y a du gravier, je pourrais peut-être rejoindre une partie de la grotte sans monstre, je m\'empresse donc de le creuser.

[IMG GRAVIER]

Horreur !
 Cette caverne semble remplie d\'archers squelette ! Il va falloir que je trouve un moyen de contrer leurs maudits arcs, pour le moment je n\'ai aucune chance, je ne peux

même pas m\'approcher.

J\'y réfléchirais une fois que je serais en sécurité, d\'autant que je crains d\'avoir laissé le temps passer sans m\'en soucier, je cours donc le plus vite possible vers la

surface, vers la lumière, vers l\'air frais.

L\'après-midi doit en être à un peu plus de la moitié maintenant. Je me pose sur l\'herbe un moment, à profiter de l\'air frais. Cette sensation est des plus agréables, surtout sur

mon visage. Travailler dans les profondeurs de la terre est éprouvant, et la châleur y est étouffante. J\'entends les brins d\'herbe virevolter au gré du vent, tel un reflux sans

vague.

Je ne peux rester là éternellement, alors lentement, je me relève. Une vache gambade tranquillement autour de moi, tout en scrutant le monde alentour. Son poil semble rêche, je

n\'ai aucune envie d\'y parcourir mes doigts...Par contre, ils pourraient faire une excellente armure improvisée !

[IMG VACHE]

C\'est décidé, je retournerais dans cette galerie dès lors que mon armure sera complète ! La chasse aux vaches est ouvertes, et je n\'aurais aucune pitié ! Je traverse une

multitudes de collines pour en trouver d\'autres, et je tombe sur un gang de trois moutons...et le fameux ruminant !

J\'hésite un moment à la vue des moutons...Marien, où es-tu? Non ! Je dois me reprendre, Marien n\'existe pas, ce n\'était qu\'un rêve ! Un rêve !

Il faut que je tue cette vache, pour ma survie. Je m\'approche d\'elle, la lame levée, mais détourne les yeux au moment de l\'abaisser. Malheureusement, j\'ai complètement abîmé ce

qui aurait pu être arraché. Marien, je ne l\'oublierais pas celle-là ! Je me vengerais une nuit prochaine, comptes là dessus.

Heureusement, une autre vache se trouvait non loin de là. Malgré son état de santé, j\'arrive à en tirer quelque chose. Après quelques mètres à peine, j\'aperçois un troupeau de

trois bovins, que j\'abats de sang froid cette fois ! Avec ce que j\'ai récolté, j\'ai de quoi me fabriquer un casque, en cuir certes, mais je préfère ça à rien du tout, je rentre

donc au bercail.

A peine ai-je posé le pieds sur mon île que le soleil commence sa lente retraite vers l\'horizon. Je descend dans ma chambre, et m\'allonge dans mon lit. J\'espère pour toi que tu

sais courir Marien, car j\'arrive !