Ce matin, je suis réveillé par le bruit des animaux à l\'extérieur. Mon lit est imbibé de sang, et ma tête semble sur le point d\'exploser. Je mange un morceau en espérant que ça ira mieux dans quelques jours.

J\'ai prévu de transformer la galerie en mine, mais ça ne sera pas pour aujourd\'hui vu mon état, j\'ai besoin d\'air. Je pense créer une brèche dans le plafond pour que la lumière entre dans la caverne, je me met donc en marche, titubant.

Des homme-buissons semblent surveiller la côte, ainsi qu\'une araignée. Je prie pour qu\'ils ne me voient pas. Les végétaux sont au nombre de quatre apparement, ils ont du me retrouver et prévoient maintenant un assaut sur mon abri grâce à je ne sais quelle ruse. Il faut que je sois prudent, surtout avec mes blessures.

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L\'un d\'eux m\'a repéré et se met à sauter contre le rebord de la colline. Heureusement, je suis trop haut pour qu\'il puisse arriver jusque là, je vais cependant tenter de lui asséner quelques coups. A ce même moment, un autre homme-buisson, que j\'appellerais Creeper, se joins au premier. Le bruit de leurs branches s\'entrechoquant est infernal, réanimant mon mal de tête. Il faut vraiment que je me débarasse d\'eux avant qu\'ils ne me prennent par surprise.

Je m\'approche du rebord, épée en main, et à force d\'attaque suivie d\'un pas de recul, je me débarasse du premier creeper. Le deuxième ne réagit pas à cela. Je me demande s\'ils éprouvent des sentiments. Je renouvelle la manoeuvre avec le deuxième monstre, qui ne fait pas long feu.

L\'un d\'eux gambade autour de mon atelier, m\'empêchant ainsi de fabriquer une nouvelle pelle. De nouveau, j\'applique la stratégie précédente, qui s\'avère payante, puis vais créer l\'outil. De nouveau, le creeper a laissé une sorte de poudre à forte odeur de souffre. Je pourrais sûrement faire de l\'explosif une fois que j\'en aurais récolté une quantité suffisante.

Je rentre dans la galerie, et compte le nombre de pas afin de situer l\'endroit où je creuserais le plafond. Je fais quelques pas, lorsque j\'entends le râle d\'un zombie, au début du couloir creusé quelques jours plus tôt. Je sens que l\'exploration n\'est pas terminée, demain je commencerais peut-être à l\'explorer.

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Finalement, faire rentrer de la lumière à cette endroit ne serait pas si mal si je prévois d\'aller en profondeur, je ressors donc après avoir calculé minutieusement le nombre de pas que j\'aurais à faire, puis remonte à la surface pour cette aération.

En creusant, je tombe sur une épaisse couche de charbon. Ca me servira de repère pour décider de la taille du trou, qui est finalement assez large. Une fois que j\'ai atteint le fond, je remonte et prends la direction de mon abri, afin de couvrir tout ça de verre.

L\'aller-retour fut le plus long, la pose du verre fut certes délicate, mais assez rapide.

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Le crépuscule devrait bientôt pointer le bout de son nez, et je n\'ai pas envie de risquer une nouvelle rencontre comme hier, alors je file vers ma maison. A peine ai-je atteint le rivage que je me félicite d\'avoir pris l\'initiative de partir bien à l\'avance.
Ce matin, je suis réveillé par le bruit des animaux à l\'extérieur. Mon

lit est imbibé de sang, et ma tête semble sur le point d\'exploser. Je

mange un morceau en espérant que ça ira mieux dans quelques jours.

J\'ai prévu de transformer la galerie en mine, mais ça ne sera pas pour

aujourd\'hui vu mon état, j\'ai besoin d\'air. Je pense créer une brèche

dans le plafond pour que la lumière entre dans la caverne, je me met

donc en marche, titubant.

Des homme-buissons semblent surveiller la côte, ainsi qu\'une araignée.

Je prie pour qu\'ils ne me voient pas. Les végétaux sont au nombre de

quatre apparement, ils ont du me retrouver et prévoient maintenant un

assaut sur mon abri grâce à je ne sais quelle ruse. Il faut que je sois

prudent, surtout avec mes blessures.

[IMG CREEPER]

L\'un d\'eux m\'a repéré et se met à sauter contre le rebord de la colline.

Heureusement, je suis trop haut pour qu\'il puisse arriver jusque là, je

vais cependant tenter de lui asséner quelques coups. A ce même moment,

un autre homme-buisson, que j\'appellerais Creeper, se joins au premier.

Le bruit de leurs branches s\'entrechoquant est infernal, réanimant mon

mal de tête. Il faut vraiment que je me débarasse d\'eux avant qu\'ils ne

me prennent par surprise.

Je m\'approche du rebord, épée en main, et à force d\'attaque suivie d\'un

pas de recul, je me débarasse du premier creeper. Le deuxième ne réagit

pas à cela. Je me demande s\'ils éprouvent des sentiments. Je renouvelle

la manoeuvre avec le deuxième monstre, qui ne fait pas long feu.

L\'un d\'eux gambade autour de mon atelier, m\'empêchant ainsi de fabriquer

une nouvelle pelle. De nouveau, j\'applique la stratégie précédente, qui

s\'avère payante, puis vais créer l\'outil. De nouveau, le creeper a

laissé une sorte de poudre à forte odeur de souffre. Je pourrais

sûrement faire de l\'explosif une fois que j\'en aurais récolté une

quantité suffisante.

Je rentre dans la galerie, et compte le nombre de pas afin de situer

l\'endroit où je creuserais le plafond. Je fais quelques pas, lorsque

j\'entends le râle d\'un zombie, au début du couloir creusé quelques jours

plus tôt. Je sens que l\'exploration n\'est pas terminée, demain je

commencerais peut-être à l\'explorer.

[IMG GALERIE]

Finalement, faire rentrer de la lumière à cette endroit ne serait pas si

mal si je prévois d\'aller en profondeur, je ressors donc après avoir

calculé minutieusement le nombre de pas que j\'aurais à faire, puis

remonte à la surface pour cette aération.

En creusant, je tombe sur une épaisse couche de charbon. Ca me servira

de repère pour décider de la taille du trou, qui est finalement assez

large. Une fois que j\'ai atteint le fond, je remonte et prends la

direction de mon abri, afin de couvrir tout ça de verre.

L\'aller-retour fut le plus long, la pose du verre fut certes délicate,

mais assez rapide.

[IMG VERRE]

Le crépuscule devrait bientôt pointer le bout de son nez, et je n\'ai pas

envie de risquer une nouvelle rencontre comme hier, alors je file vers

ma maison. A peine ai-je atteint le rivage que je me félicite d\'avoir

pris l\'initiative de partir bien à l\'avance.