BannierePENTAChampions

Fabian et Pengu ont pris le micro après le sacre de leur équipe en Pro League.

 

Après un week-end d'affrontements endiablés, les européens de PENTA Sports ont été sacrés champions de la première saison de Rainbow Six Pro League de l'année 2. Au cours de leur course vers le titre, Joonas et ses coéquipiers ont fait chuter les nord-américains en grande forme d'eLevate, et les deux forces brésiliennes en présence, V3Masters et Black Dragons. Après la victoire de leur équipe en finale, Fabian "Fabian" Hällsten et Niclas "Pengu" Mouritzen ont répondu aux questions de Matt Andrews.

 

Matt Andrews : Félicitations à vous tous. Une incroyable finale, un incroyable parcours jusqu'à ces Finals, vous avez été dominants durant les quarts et les demies. Nous nous attendions à une très grande performance de votre part, mais ce fut bien plus rapide et cinglant que prévu. Vous l'aviez dit, vous étiez prêts.
Fabian "Fabian" Hällsten : Je pensais que nous devions l'emporter, nous l'avons fait. C'était un très beau match, qui fut plus serré que prévu au niveau des manches. Le score de 10-1 n'est pas représentatif, ce fut beaucoup plus disputé.

 

Vous avez dit être préparés pour affronter Black Dragons, pour une de vos premières rencontres face à des équipes brésiliennes, cela ne semble pas vous avoir posé de problèmes.

Nous avons su apprendre leur style de jeu et nous y accomoder en élaborant de nouvelles stratégies et en contrant les leurs, ce qui explique notre victoire.

 

Pengu, tu étais ici en Saison 1, tu as gagné la toute première finale de Pro League. Maintenant PENTA est de retour, tu es de retour, comment vis-tu ce moment ?

Niclas "Pengu" Mouritzen : Ce fut très long, nous avons chuté à chaque saisons. Nous sommes venus ici avec un état d'esprit différent, avons revu notre mentalité, notre style de jeu et la variété de notre composition nous aura grandement aidée. Je ne pouvais pas regarder les Finals de Pro League que je manquais, j'étais vraiment déçu, vraiment triste, j'aurais aimé y être, mais je n'y étais pas.  Je voyais tout le monde heureux d'y être, soulever les trophées, c'était dur.